La mauvaise culture du risque lors de l'accident de l'usine Lubrizol avait été pointée, à la fois par la commission d'enquête du Sénat, la mission d'information de l'Assemblée nationale et par une mission d'inspection de hauts fonctionnaires. Élisabeth Borne, alors ministre de la Transition écologique, avait annoncé des initiatives (en vue d'améliorer ce volet de la gestion du risque.
Après un renforcement des fréquences minimales d'exercice des plans d'opération internes (POI) acté par la publication des textes post-Lubrizol fin septembre, l'actuelle ministre, Barbara Pompili, annonce ce lundi 21 décembre le lancement d'une mission de modernisation de la culture du risque. Lire la suite de l'article... Auteur : Laurent Radisson, Actu-Environnement.com.Publié le
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