Secteur alimentaire : les nouveaux enjeux de la Food Safety Culture (FSC)

Classé dans la catégorie : Général

deux femmes en tenue de protection dans une entreprise du secteur alimentaireDe nombreuses entreprises du secteur alimentaire doivent se conformer à plusieurs règles en matière d’hygiène : la majorité de ces règlements sont inscrits dans le “Paquet Hygiène”, notamment le règlement n°852/2004 relatif à l’hygiène des denrées alimentaires. Aussi de nouvelles obligations liées à la FSC ont été intégrées à cette réglementation.

Qu’est-ce que la FSC ?

Selon le rapport de la GFSI (Global Food Safety Standard) datant de février 2019, la Food Safety Culture (FSC) est : “Un ensemble de valeurs, croyances et normes communes qui ont une incidence sur l’état d’esprit et le comportement à l’égard de la sécurité sanitaire des aliments au sein d’une organisation, à l’échelle de l’organisation et dans l’ensemble de celle-ci.” Suite à la parution de ce rapport, plusieurs référentiels alimentaires (IFS, BRC, FSSC 22000) ont intégré cette nouvelle notion de sécurité sanitaire des aliments.

Quels sont les objectifs de la FSC ?

La FSC a pour objectif d’intégrer la culture de la sécurité des aliments au sein de chaque organisation : cette dernière permet de s’assurer que des mesures de prévention et de maîtrise sont en place. La responsabilisation de l’ensemble des acteurs est primordiale, qu’il s’agisse du personnel ou de la direction.

Comment faire appliquer les principes de la FSC grâce au digital ?

Une solution dédiée comme BlueKanGo permet de développer la communication et la formation : via un portail totalement personnalisable, chaque collaborateur peut accéder aux documents et procédures le concernant. Les formations des salariés sont archivées directement sur l’outil, en lien avec le service des Ressources Humaines (RH).

Aussi, chaque organisation peut s’auto-évaluer par rapport aux critères imposés dans les référentiels privés alimentaires pour établir son niveau de maturité vis-à-vis de la FSC. La planification et le suivi de ces autoévaluations peut ainsi être réalisé à partir d’un ordinateur/tablette/smartphone. S’appuyer sur un outil digital, c’est également la possibilité de réaliser des études statistiques automatiques en lien avec les grilles d’autoévaluation. Les tableaux de pilotage d’indicateurs permettent à la direction et à l’ensemble du management d’être avertis en temps réel de la situation.

Pour en savoir plus, vous pouvez Je m'inscris.

Les derniers produits des risques professionnels

Réagissez en laissant votre commentaire !