Crise de la fonction RSE dans les entreprises sommées de radicaliser leur transformation

La RSE doit-elle être radicale ? Cette question brûlante a été posée aux invités de l’Orse, l’Observatoire de la Responsabilité Sociale des Entreprises, lors d’un débat organisé pour ses vœux. Elle porte deux dimensions : la première est de s’interroger sur la capacité des directeurs RSE à affronter une plus grande radicalité des mouvements climatiques et environnementaux qui ciblent les entreprises. La seconde concerne la capacité des politiques RSE à devenir les piliers de la stratégie d’une transformation plus radicale des entreprises pour respecter leurs engagements.

"L’alerte écologique s’exprime de plus en plus par des actes violents. Violence physique ou symbolique, elle témoigne d’un sentiment de plus en plus répandu dans la jeune génération d’une surdité des décideurs publics et privés. Les responsables de la RSE, qui portent les stratégies de transformation des organisations, se retrouvent au cœur de ce mouvement entre inquiétude légitime et complexité des changements et des réformes à opérer", a résumé Hélène Valade, la présidente de l’Orse (Observatoire de la Responsabilité Sociale des Entreprises), en introduction d’une soirée-débat intitulée "La Rse doit-elle être radicale ?", lundi 16 janvier. Lire la suite de l'article...

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